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Le XIXe siècle : Une impulsion des consciences au cœur de l'Esthétique !

  • Bouquillon Alice
  • 7 avr. 2020
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 8 avr. 2020

La mode est dans la rue. C'est à cette époque qu’apparaissent les « Salons d'embellissements », ancêtres de nos instituts de beauté.


Les produits de beauté deviennent de plus en plus élaborés et une industrie nouvelle est en train de poindre.

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Mais l'eau est onéreuse, et prendre un bain chez soi n'est pas à la portée de toutes les bourses. Ainsi, un Parisien, en 1836, dépense 3 F 20 pour ses deux ou trois bains annuels, alors qu'un accouchement ne coûtait que 1 F 72.



En 1867 un statisticien affirmait que sur 100 personnes :


  • 2 utilisaient régulièrement une baignoire

  • 18 se trempaient les pieds dans l'eau quand ils changeaient de chaussettes

  • 40 se lavaient les pieds deux fois par hiver, le visage, les mains tous les samedis, et le cuir chevelu, jamais.

  • 20 ne se lavaient pas du tout.


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Les siècles passent, mais pour l'homme, le désir de plaire, de vivre en bonne santé, d'être bien dans sa peau, demeure.


Alors la cosmétologie subsiste & se développe. La cosmétologie est, rappelons le, la science de la parure mais aussi de l'ordre et de l'arrangement physique & sociétal. En effet, l'usage des cosmétiques, développe la confiance en soi et apporte une certaine assurance en société.


Bénéficier de la cosmétologie, c'est aussi respecter les autres, leur offrant une parcelle de l'harmonie universelle.


Que ce soit en cosmétologie ou dans la confection des parfums la matière première provient de ressources naturelles


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Qui mieux que les plantes, en harmonie, peuvent apporter à l'homme à la fois la parure, la beauté et la santé, afin qu'il se retrouve dans l'ordre du cosmos ?

 
 
 

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